DAKOTA

Collectif d’artistes / Organisme d’alter-réalité, Genève
www.3615dakota.ch

Parce que nous sommes plus fort(e)s à plusieurs et que nous n’aimons pas partir seul(e)s en vacances, Dakota se définit comme un, personne et cent mille, c’est pour cela qu’il est aussi et avant tout un collectif.

Le « réel » est notre terrain de jeu. Nous considérons celui-ci comme un ensemble de couches de croyances, de récits, et de perceptions portées collectivement sur le monde. Ces strates sont pour nous des territoires avec leurs règles, leurs forces et leurs faiblesses, et comme nous aimons les histoires d’aventures et de cosmonautes, nous aspirons à les conquérir, mais aussi à trouver des accords, à bâtir des ponts entre eux pour participer à la mise en oeuvre d’une réalité publique vivable et partagé.

Nous entendons par « réalité » ce grand fourre-tout sémantique dont chacun se réclame sans trop savoir de quoi il en retourne. C’est dans ce grand millefeuilles de récits et de croyances que nous établissons nos actions.

Notre mode opérationnel consiste à créer des situations, des contextes, pour interagir avec les modes d’existences du réel, en vue de créer des alter-réalités ou il ferait bon se réunir les soirs d’orages.

(Dakota travaille en étroite collaboration avec la Cie Les 3 points de suspension)

THALASSOPONIETous les jours, en continu.

Invités :  Nicolas Chapoulier, Antoine Frammery, Charlie Moine et Anthony Revillard

Agriculture affective et balnéothérapie urbaine

La thalassoponie propose de faire se rencontrer potager et bien-être. Une alternative détente et agronomique destinée à contempler nos réalités à 60 degrés Celsius pour faire face à nos cités en perpétuelle quête de vitesse.

Une expérience culinaire entre agronomie, neurosciences et thalassothérapie.

La thalassoponie cherche à mettre en évidence, les relations possibles entre salades, jacuzzi et saxophone. Il s’agit ici de faire entrer en interaction la qualité de nos bien-être avec la charge symbolique de la réalité d’une salade. Comment accéder à la réalité d’un végétal ? Comment la charge affective d’un individu interagit-elle avec la structure du goût d’une salade ?